Des militants du Front de gauche agressent sauvagement des étudiants de droite : pas un mot dans la presse. Le beau-fils de François Hollande arrêté par la police car il se droguait devant son lycée : pas un mot dans la presse. Mélenchon lance un appel à l’insurrection : pas un mot dans la presse. Aubry veut dépénaliser le cannabis : pas un mot dans la presse. Les journalistes militants de notre pays ne veulent pas que les Français sachent de quel côté la gauche se situe.
Pour de basses raisons électoralistes, François Hollande n’avoue pas qu’il compte légaliser, ou au moins dépénaliser, le cannabis. Pourtant, ses alliés Mélenchon et Joly proposent ouvertement cette mesure de soutien aux drogués. Martine Aubry avoue même qu’elle y est personnellement favorable (voir vidéo ci-dessous).
Bien sûr, les journalistes essayent de nous cacher que la chef du PS veut légaliser le trafic de drogue. Aucun média n’a repris la vidéo hallucinante d’une Martine Aubry décomplexée, qui explique tout sourire qu’on devrait laisser nos enfants fumer de la drogue.
D’ailleurs, les socialistes semblent déjà avoir appliqué cette mesure dans les faits, puisque le fils de Valérie Trierweiler s’est fait épingler par les policiers (les vilains fachos !) pour avoir consommé de la drogue devant un lycée. Une information incroyable que pas un seul journaliste n’a relayé, alors même que de multiples articles avaient été écrits la semaine d’avant sur le fils de Sarkozy, qui avait jeté une tomate sur un policier. Deux poids deux mesures…
Si la gauche française a donc choisi son camp dans la lutte contre la drogue, il semble en être autant sur les violences aux personnes et sur le déni de démocratie. Ainsi, cette semaine, le président du MET (syndicat étudiant de droite), Antoine Diers, s’est fait tabasser parce qu’il ne pensait pas comme il fallait, au sein même d’une Université, par des syndiqués de SUD-FSE, mouvement ouvertement à gauche.
Andréa Kotarac, responsable national des jeunes du front de gauche a été arrêté par la police pour une agression en groupe (toujours courageux les gauchistes !) contre des jeunes qui refusaient de lire des tracts pro Mélenchon et qu’ils avaient frappés à coups de chaises et de manches de drapeaux. Des attaques barbares qui n’ont rien d’étonnant quand on sait que pour son rassemblement à la Bastille, Jean-Luc Mélenchon, a appelé tous les excités d’extrême gauche à lancer une « insurrection » et une « démonstration de force »…
On connaît le laxisme de la gauche en matière de sécurité mais elle se contentait jusqu’à présent de son discours plein d’angélisme, qui voulait que les pauvres délinquants soient des victimes et que leurs comportements soient imputables à la société. Désormais, les activistes de gauche participent également à cette violence croissante.
Avoir l’impression de défendre les idées qui représentent le bien ne justifie pas tout. Il faudra bien que les dirigeants de gauche s’expliquent un jour sur ces comportements. Ils faudra qu’il s’expliquent sur leurs déclarations et sur leurs silences. Il faudra également que les journalistes français justifient leurs prises de positions et leurs œillères, qui ont fini d’achever le peu de crédit qu’il leur restait. Qu’ils ne viennent pas pleurer si la presse est en train de mourir, ils en sont les premiers responsables. http://www.dailymotion.com/embed/video/xl4nxh
Merci à:http://24heuresactu.com/2012/04/06/cannabis-violence-la-gauche-du-cote-des-voyous-video/